Les principes de la domination sexuelle

Si vous êtes parmi ces couples qui cherchent à pimenter sa relation, le jeu de la domination sexuelle peut être une option envisageable. Pour ceux qui ne l’ont pas encore essayé, il existe des principes à suivre pour rendre le moment agréable et non regrettable. Oui, le rôle du dominant, que vous soyez la maitresse dominatrice ou le maitre dominant, est un peu compliquer qu’il a l’air. Que faire alors pour être un bon dominant ?

La gestion du pouvoir

Bien que vous déteniez tout le pouvoir, il faut savoir le gérer. Il faut se fixer des limites dans l’exercice du pouvoir pour ne pas sortir du jeu. Ainsi, en tant que meneur, vous avez la responsabilité du bon déroulement de la séance.

Acceptez les limites de votre partenaire

Inventez des codes pour indiquer que vous voulez tout arrêter et revenir à la normale. En tant que dominant, vous pouvez oublier ces limites. Si le dominé le demande car il sent que le jeu commence à aller trop loin pour lui, alors arrêtez. Votre rôle est d’explorer les limites sans les franchir.

La responsabilité ludique

Le dominant a la responsabilité de rendre le jeu intéressant. Il doit faire preuve d’imagination tout en restant dans le scénario. Un dominant qui ne maitrise pas son rôle peut soit rendre le jeu ennuyeux soit aller trop loin.

La responsabilité en fonction du degré

Si le couple choisit un jeu de domination dit soft, alors la responsabilité du dominant est limité. Mais s’il décide à aller plus loin comme l’utilisation de la torture ou d’autres instruments plus douloureux, une extrême vigilance est demandée à celui qui mène la danse.

Si tous ces principes sont respectés, alors le plaisir est garanti. En effet, le jeu de rôle procure un certain nombre de plaisir. Le premier étant le plaisir d’avoir un pouvoir absolu sur son partenaire. La deuxième forme de plaisir est du plaisir physique, celui d’apprécier le fait de voir son partenaire assoupir à ces moindres désirs autant sur le point sexuel que sur le port d’accessoires et de vêtement. La troisième étant le plaisir psychologique : la satisfaction de savoir que son partenaire accepte volontaire de se soumettre à soi. Car le dominant se voit satisfait qu’il a le pouvoir de rendre plaisir à son partenaire.

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